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https://hub.ifdc.org/handle/20.500.14297/1374

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Manual for determining physical properties of fertilizer
(1986) IFDC
The International Fertilizer Development Center (IFDC) has prepared a 3rd edition manual outlining methods for determining fertilizer's physical properties, including procedures used by IFDC to evaluate the physical quality of commercial and experimental fertilizer products and raw materials. Many of the procedures included in the manual were adopted from the Tennessee Valley Authority (TVA) National Fertilizer and Environmental Research Center (formerly National Fertilizer Development Center) and other organizations involved in measuring physical properties. IFDC does not endorse these methods as being standards. This revised manual includes IFDC procedures related to the following physical properties of fertilizers: critical relative humidity, moisture absorption-penetration characteristics, flowability, chemical compatibility in blends, caking tendency, size analysis, physical compatibility in blends, angle of repose, bulk density, apparent density, true density of solids and liquids, viscosity, granule crushing strength, abrasion resistance, impact resistance, handling strength, sphericity, conditioner adherence, dustiness, surface area, disintegration rate, and porosity. Additionally, IFDC has included six procedures that have been given the status of international standards by the International Organization for Standardization (ISO).
Facilitation et Animation Dans Contecte des Adultes Avec Prise en Compte de Genre
(2003) IFDC
Cette séquence pédagogique a pour objectif de former les participants sur les principes et styles d'apprentissage des adultes, ainsi que sur la préparation, l'organisation et l'animation d'une réunion d'échange/formation avec une implication qualitative des femmes. Les participants apprendront également à animer des sessions d'information, de formation, des visites d'échange et des démonstrations sur les bonnes pratiques agricoles, le stockage et la transformation des produits agricoles. La théorie de l'apprentissage expérientiel de Kolb sera présentée pour aider les participants à comprendre comment les adultes apprennent de leur expérience. Les participants seront en mesure d'expliquer les méthodes et outils d'animation de groupe, de planifier des séances d'information, d'éducation et de communication et d'animer des sessions sur les bonnes pratiques agricoles.
Gestão das Associações de Agro Negócios Pacote Inicial: Manual Prático para Associações de Agro Negócios Existentes e Emergentes
(2008-08) IFDC
As associações do agronegócio desempenham um papel fundamental no setor agrícola ao facilitar a coordenação, o empoderamento e a criação de valor entre os participantes em vários níveis, desde o local até o global. Essas associações, como entidades formais sem fins lucrativos, atendem aos interesses comuns de indivíduos e empresas envolvidos na agricultura, oferecendo benefícios financeiros, defesa, comunicação e educação (atividades FACE) para aprimorar as atividades econômicas. Elas servem como plataformas para a troca de conhecimento, experiências compartilhadas e desenvolvimento profissional, contribuindo para o desenvolvimento econômico e a redução da pobreza, especialmente em países em desenvolvimento. Por meio do desenvolvimento sustentável das associações, os empreendedores do agronegócio podem navegar em mercados competitivos e promover a inovação. Este manual, preparado pelo IFDC com base em experiências práticas em diferentes regiões, serve como um recurso para desenvolver a capacidade de agricultores, empreendedores do agronegócio e empresas para estabelecer e sustentar associações do agronegócio. O manual delineia o ciclo de vida das associações, cobrindo as fases de criação, inicialização, construção de sustentabilidade e crescimento, enfatizando a importância do envolvimento dos membros, visão clara, missão e objetivos, bem como estratégias eficazes de comunicação e defesa.
Managing Agribusiness Associations Starter Kit : A Practical Handbook for Starting and Existing Agribusiness Associations
(2009-05) IFDC
Agribusiness associations play a pivotal role in the agricultural sector by facilitating coordination, empowerment, and value creation among participants at various levels, from local to global. These associations, as formal not-for-profit entities, cater to the common interests of individuals and businesses involved in agriculture, offering financial benefits, advocacy, communication, and education (FACE activities) to enhance economic activities. They serve as platforms for knowledge exchange, shared experiences, and professional development, contributing to economic development and poverty reduction, particularly in developing countries. Through sustainable association development, entrepreneurs in agribusiness can navigate competitive markets and foster innovation. This handbook, prepared by IFDC based on practical experiences in different regions, serves as a resource to develop the capacity of farmers, agribusiness entrepreneurs, and businesses to establish and sustain agribusiness associations. The handbook outlines the life cycle of associations, covering creation, start-up, building sustainability, and growth phases, emphasizing the importance of member involvement, clear vision, mission, and objectives, as well as effective communication and advocacy strategies.
Gestion des Associations en Agribusiness Kit de Démarrage : Un Guide Pratique pour les Nouvelles ou Jeunes Associations en Agribusiness
(2009-05) IFDC
Les associations du secteur agro-industriel jouent un rôle crucial dans le secteur agricole en facilitant la coordination, l'autonomisation et la création de valeur parmi les participants à différents niveaux, du local au global. Ces associations, en tant qu'entités formelles à but non lucratif, répondent aux intérêts communs des individus et des entreprises impliqués dans l'agriculture, en offrant des avantages financiers, du plaidoyer, de la communication et de l'éducation (activités FACE) pour renforcer les activités économiques. Elles servent de plateformes d'échange de connaissances, d'expériences partagées et de développement professionnel, contribuant au développement économique et à la réduction de la pauvreté, notamment dans les pays en développement. Grâce au développement durable des associations, les entrepreneurs du secteur agro-industriel peuvent naviguer dans des marchés compétitifs et favoriser l'innovation. Ce manuel, préparé par l'IFDC sur la base d'expériences pratiques dans différentes régions, sert de ressource pour développer la capacité des agriculteurs, des entrepreneurs du secteur agro-industriel et des entreprises à établir et à maintenir des associations du secteur agro-industriel. Le manuel décrit le cycle de vie des associations, couvrant les phases de création, de démarrage, de construction de la durabilité et de croissance, en mettant l'accent sur l'importance de l'implication des membres, d'une vision claire, d'une mission et d'objectifs, ainsi que sur des stratégies de communication et de plaidoyer efficaces.
Gestion Intégrée de la Fertilité des Sols (GIFS)
(2014) Zacharie Nzohabonayo; Sandra Kavira; Jean de Dieu Katembo Muhirwa; Delphin Batege Zozo; Thomas Hatangimana; Athanase Nduwumuremyi; Jean Nepomuscène Ukozehasi; Nina de Roo; Marleen Brouwer
Fiches techniques consacrées à la Gestion Intégrée de la Fertilité des Sols (GIFS) Il est possible d’améliorer durablement la sécurité alimentaire et de réduire la pauvreté par l’intensification agricole dans la sous-région des Grands Lacs d’Afrique Centrale. L’IFDC, le Centre international pour la fertilité des sols et le développement agricole, s’est engagé à relever ce défi à travers le projet CATALIST (Catalyser l’intensification agricole accélérée pour la stabilité sociale et environnementale). Ce projet concerne le Rwanda, le Burundi et l’Est de la République démocratique du Congo (provinces de Kivu). L’IFDC a opté pour une approche de « gestion intégrée de la fertilité des sols (GIFS) » qui combine l’utilisation d’engrais et d’amendements à d’autres pratiques de protection et de conservation du sol. Il s’agit d’un processus qui permet d’augmenter le rendement des cultures, tout en protégeant la base physique de l’environnement. Dans le souci d’accélérer l’adoption de la GIFS, IFDC CATALIST a conçu neuf fiches techniques destinées aux agronomes et aux vulgarisateurs agricoles. Les fiches 1 et 2 se réfèrent à des généralités sur la GIFS. Les fiches 3 à 9, quant à elles, donnent des détails sur les technologies de base et les technologies complémentaires de la GIFS. Ce guide a pour objectif d’être utilisé comme support de formation par les instructeurs agricoles chargés de former des producteurs sur la GIFS. Le guide se compose de neuf modules différents (qui accompagnent les fiches techniques 1 à 9), à la fois théoriques et techniques, ayant pour objectif de donner : 1 Aux formateurs, les connaissances et les clés pédagogiques pour enseigner les méthodes permettant de comprendre la GIFS. Il leur est recommandé d’en maîtriser le contenu autant que possible. 2 Aux producteurs bénéficiant de la formation, les compétences nécessaires pour maîtriser la GIFS. Construction des modules Les différents modules sont scindés en plusieurs séances. Au début de chaque module, les objectifs, le découpage des différentes séances ainsi que le temps alloué, le lieu de formation et l’équipement nécessaire sont définis. Ensuite, c’est la démarche que le formateur doit suivre qui est détaillée. L’accent est alors mis sur les différents concepts à transmettre et la manière de les présenter. Organisation préalable à la formation des producteurs n Sélectionner en amont les producteurs à former (le nombre de participants pour cette formation ne doit pas être supérieur à 30), et s’assurer que le groupe soit bien équilibré du point de vue du genre. Introduction du manuel 5 6 manuel : Gestion Intégrée de la Fertilité des Sols (gifs) n Informer les producteurs du début de la formation dans un délai raisonnable et s’assurer de leur disponibilité. n Quelques jours avant le début de la formation, s’assurer que les participants soient bien informés de la date, de l’heure et du lieu de la formation, qu’ils aient confirmé leur présence et qu’ils puissent s’y rendre facilement. n Le formateur aura toujours avec lui/elle la liste des participants et les fiches techniques 1 à 9 (afin de montrer les photographies, images et autres exemples figurant dans les fiches). n S’assurer que la salle de formation soit bien disponible. n S’assurer que le champ/le lieu de formation sur le terrain soit bien disponible et accessible. n Préparer le matériel nécessaire (flipchart - tableau à feuilles mobiles -, marqueurs, stylos, carnets, ordinateur, vidéoprojecteur, échantillons, supports de jeu de rôle, etc.). Le formateur doit éviter les notions trop techniques et essayer d’expliquer les différents termes dans un langage simple. Il/elle peut utiliser un projecteur pour montrer des photographies et, si il/elle est dans l’impossibilité de le faire, il/elle peut faire un dessin sur le flipchart ou montrer notamment des graphiques à partir de la fiche technique. Si des séances prévoient une partie pratique sur le terrain et une autre en salle de formation, il faut généralement d’abord commencer par le terrain (aux champs), et s’y rendre une seule fois au cours de la séance. La formation continue alors dans la salle, après la visite sur le terrain. Le formateur doit également identifier à temps les champs qui serviront aux démonstrations et préparer le matériel didactique nécessaire à cette formation. L’enchaînement des modules et des séances Étant donné que les différents modules et séances ne sont pas nécessairement abordés au cours d’une même séance de formation, il peut être pertinent pour le formateur de rappeler (de manière très synthétique) les thèmes et notions déjà développés dans les modules précédents. Cette démarche est importante pour assurer la continuité des différentes étapes de la formation qui ont été pensées dans un ordre particulier. Ceci est également valable sur une même journée de formation : en effet, les séances peuvent être entrecoupées de pauses café, déjeuner, etc. De retour en salle, un bref rappel du sujet abordé est toujours très utile. Favoriser l’échange avec les producteurs Il s’agit d’un point très important dans le manuel de formation. L’objectif n’est pas de déverser de multiples connaissances aux producteurs pour qu’ils n’en retiennent qu’à peine la moitié. Il faut les solliciter au maximum (pour les maintenir intéressés et qu’ils reçoivent l’information qu’on souhaite leur transmettre) pour que la formation ne soit pas un cours magistral, mais plutôt un véritable échange entre le formateur et ses élèves. En outre, tous ces échanges sont très utiles au formateur pour mieux comprendre les pratiques et les contraintes des producteurs, afin d’adapter son discours. Lors de ces plages de discussion, le formateur n’hésitera pas à noter sur le flipchart les éléments donnés par les producteurs, éléments sur lesquels il pourra revenir pour les confirmer, infirmer ou développer. Introduction du manuel 7 Ainsi, le formateur trouvera, à de nombreuses reprises dans ce manuel, des questions à poser aux producteurs pour en savoir plus sur eux et laisser place à la discussion. Cette liste de questions n’est bien sûr pas exhaustive, et le formateur pourra à son gré lancer des échanges avec les producteurs. Nous plaidons en faveur de l’utilisation des méthodes de formation participative. Par conséquent, à l’issue de chaque séance et de chaque module, il est important de demander aux producteurs s’il y a des questions, des zones d’ombre, des éléments à éclaircir ou des points incompris. La structure du manuel Ce manuel est structuré en modules et séances. Chaque module correspond à un sujet bien défini et se compose de plusieurs séances. Les modules sont fondamentalement indépendants, mais référence est parfois faite à d’autres modules. En ce qui concerne le lieu de formation, les séances auront lieu au champ, ou dans un endroit consacré à la formation sur le terrain, ou encore en salle si nécessaire. Ainsi, chaque module est composé des éléments suivants : Résumé Messages clés Objectifs Contenu Séance 1, séance 2, etc. Conclusion du module
Sample Business Plan for XXXX Watermelon Juice, Kano, Nigeria
(IFDC, 2014) IFDC
XXXX Table Water Limited (TWL), a company owned by reputable promoters, the company was established since 2004 and has since been producing table water and cultivation of arable crops, LTWL has resolved to establish a 2,000 litres per hour watermelon juice processing facility that is not only modern but also efficient. This is based on the need to take advantage of the huge population demanding for fresh fruit juices, out grower farmers cultivating watermelon without proper storage upon harvest and the high wastage due to this lack of storage facility and other features that have occasioned the huge supply gap in Nigeria’s fruit juice market. Watermelon the major raw material for this project, is available in abundance in many states including Kano and Jigawa, where the company will engage with, and start buying fresh fruits from almost 300 farmers whose contact telephone numbers were collected during the feasibility study for this project. This will be achieved through a formal off-taker agreement between the farmers and the firm. XXXX also has a long-term intention of cultivating watermelon on part of its 200-hectare land, in order to take direct control of its own raw material supplies. The projected yield from this activity would be from 100 – 150 tons per annum and the effect on farmers will be minimal. The Nigerian market has several fruit juice producers with differing capacities and thriving under varying conditions. However, the Nigerian market has a opportunities for any discerning investor who emphasizes good quality. As a strategy for ensuring success, XXXX will employ all the appropriate strategies - get the right equipment, hire the right personnel, get high quality raw materials and use best practices in juice making. The company will also emphasize proper maintenance of assets, ensure that have requisite skills, while being diligent with regard to quality control, waste management, regulatory controls, cost management and revenue drive. Funding will be sourced through a term loan of N78million from a borrower-friendly institution such as the Bank of Industry, directors’ loan in the sum of N15million and internally-generated cash from sales of products. Sales will commence with about N112million in the first full year of operations and rise modestly to about N135million by year 3. The Net Present Value of N85,777,890.00, Internal Rate of Returns of 21% and other indicators show that the project is commercially and financially viable. All the risks bordering on finance, supplies, technical efficiency, power supply, market and construction have been carefully considered and appropriately mitigated. Based on the foregoing, this proposal for the establishment of a watermelon juice processing facility by XXXX Table Water Limited is strongly recommended for funding.
Operating Manual on Automated Continuous Measurement of Greenhouse Gas Emissions
(2014) Upendra Singh; Yam Kanta Gaihre; M. Abdus Satter; Austin, E. Rick
Agriculture is one of the major sources of greenhouse gases (GHG) which accounts for 10-12% of total anthropogenic GHG emissions. There is increasing interest in quantification of greenhouse gas (GHG) fluxes from agricultural soils. Fluxes of nitrous oxide (N2 O) and nitric oxide (NO) from agricultural soils show high spatial and temporal variations. The manual gas sampling technique, which is done on a weekly or biweekly interval, may not include those variations. The extrapolation of the emissions measured over wide interval of time over a season or a year that may either over- or under-estimate total emissions, is not desirable particularly for GHG emissions mitigation research. Therefore, automated continuous measurement, which includes all the temporal variations, gives a real estimate of GHG fluxes, particularly for N2 O and NO. This manual deals with automated continuous measurement system designed by International Fertilizer Development Center (IFDC) to measure N2 O and NO emissions. The manual briefly discusses the following: • Background of GHG flux measurement. • Construction of automated chambers and their installation in the field. • Components of automated gas sampling and analysis system including their laboratory setup. • Control and datalogging unit. • Analysis of N2 O and NO. • Calculation of GHG fluxes. • Maintenance and monitoring of the system.
Systeme D'information de Marche (SIM): Le Guide de L'utilisateur
(2016) IFDC
Le programme "Approche Communale pour le Marché Agricole au Bénin" (ACMA), financé par l'ambassade du Royaume des Pays-Bas au Bénin, est mis en œuvre par un consortium de cinq organisations : IFDC, Care International Benin/Togo, Sahel Capital and Partners, Institut Royal Tropical (KIT) et Benin Consulting Group International (BeCG). Le programme vise à améliorer la sécurité alimentaire et à augmenter les revenus agricoles des acteurs directs. Les objectifs clés incluent le renforcement du pouvoir économique des acteurs locaux dans les échanges commerciaux, l'augmentation du commerce local et transfrontalier, ainsi que l'amélioration de l'offre locale et de l'écoulement des produits pertinents. Le programme aborde les défis du marché à travers des interventions axées sur l'intelligence de marché, l'organisation de l'offre de produits, le développement communal, le financement des acteurs, le renforcement des capacités des groupes vulnérables et la logistique des chaînes de valeurs. Les diagnostics révèlent la nécessité de renforcer les acteurs économiques dans la mobilisation de l'offre, la compréhension du marché et la connaissance de la demande. Un Système d'Information sur le Marché (SIM) a été initié en 2014, comprenant une évaluation des besoins, une évaluation des mécanismes endogènes, une évaluation du paysage SIM, le développement d'une stratégie, et la création d'outils. Ce document sert de guide pour opérationnaliser le SIM, détaillant son objectif, son processus de mise en œuvre, ses composants, les exigences des médias et la feuille de route. Le SIM vise à faciliter la commercialisation des produits agricoles en fournissant des informations fiables sur le marché aux acteurs des Pôles d'Entreprises Agricoles (PEA), contribuant à des mises à jour quotidiennes sur les prix, les quantités, les exigences du marché et soutenant la prise de décisions éclairées.
Fiche Technique : Stockage et Conservation de l’Arachide
(2019) IFDC
Ce document fournit des lignes directrices pour le stockage et la préservation appropriés des arachides afin de maintenir leurs qualités organoleptiques, nutritionnelles, commerciales et germinatives. Le guide a été approuvé par des organisations agricoles nationales. Des concepts de base tels que le séchage, le battage, le stockage et la conservation sont définis. Les facteurs qui affectent le stockage, tels que les facteurs abiotiques et biotiques, les ravageurs et les niveaux d'humidité, sont expliqués. Le guide fournit des détails sur la récolte des arachides mûres et la différence entre les gousses matures et immatures. De plus, le document traite des méthodes de lutte préventive et curative contre les ravageurs et de l'importance de maintenir l'hygiène pendant le processus de stockage.
Fiche Technique : Transformation du Soja en Fromage de Soja (Amonsoja)
(2019) IFDC
Ce document fournit une description détaillée du processus de production et de l'équipement utilisé pour la fabrication du fromage de soja, localement connu sous le nom d'Amonsoja, au Bénin. Le soja est une légumineuse riche en protéines qui a gagné en popularité dans le pays en raison de sa valeur nutritionnelle et de son potentiel culinaire et médicinal diversifié. Le fromage de soja est l'un des produits dérivés du traitement du soja et il est couramment utilisé comme substitut de viande végétarien. La production de fromage de soja comprend deux étapes principales : la production de lait de soja brut et le processus ultérieur de fabrication du fromage. La matière première principale utilisée est le soja, et les variétés telles que TGX sont préférées pour leur rendement plus élevé. L'équipement et les matériaux utilisés comprennent une casserole, des récipients, des passoires, une passoire à légumes, un tissu pour l'extraction du lait, une spatule en bois, une écumoire, un bol doseur, un moule percé fait maison, un thermomètre alimentaire, un moulin à épices propre et une balance. Le processus de production commence par le nettoyage et le tri des graines de soja pour éliminer les impuretés, suivi du pesage et du lavage des graines pour séparer les bonnes des impuretés résiduelles. Les graines trempées sont ensuite moulues dans un moulin en acier inoxydable et la pâte obtenue est hydratée en ajoutant de l'eau chaude. Ensuite, le lait est filtré et extrait en le passant au travers d'un tissu en coton propre. Le lait extrait est cuit doucement pour éviter une saveur âcre et porté à ébullition tout en remuant légèrement. Pour coaguler le lait, du sulfate de magnésium (communément appelé sel d'Epsom) est utilisé comme coagulant. Le coagulant est ajouté progressivement au lait et le mélange est remué doucement pour assurer un mélange adéquat. Le lait coagulé est ensuite récupéré à l'aide d'une petite passoire ou en le versant sur un filtre pour permettre au liquide de s'écouler. Le fromage est pressé à l'aide d'une presse manuelle ou en plaçant un poids sur le sac rempli de fromage. Après le pressage, le fromage est rincé et trempé dans de l'eau propre pendant 1 à 2 heures, en changeant l'eau au moins trois fois. Cette étape aide à éliminer l'amertume causée par le sulfate de magnésium. Le fromage peut également être coloré en l'immergeant dans des solutions naturelles fabriquées à partir de panicules/d'écorce de sorgho ou de feuilles de teck. Ce document fournit un guide complet pour la production de fromage de soja, en détaillant chaque étape impliquée ainsi que l'équipement et les matériaux nécessaires. Il constitue une ressource précieuse pour les particuliers ou les entreprises intéress
Fiche Technique : Transformation du Soja en Farine
(2019) IFDC
Ce document fournit un aperçu du processus de production de la farine de soja, de ses matières premières, de l'équipement utilisé et de ses diverses applications. La farine de soja est dérivée de soja torréfié, moulu et tamisé, et elle est largement utilisée dans les recettes culinaires végétariennes et l'industrie agroalimentaire. Au Bénin, elle est particulièrement utilisée dans la formulation de farines pour nourrissons en raison de sa teneur élevée en protéines. La production de farine de soja commence par la sélection des graines de soja, et toutes les variétés cultivées au Bénin peuvent être utilisées pour la production de farine. L'équipement nécessaire comprend des tamis pour tamiser la farine moulue, des marmites pour la cuisson, des matériaux d'emballage pour le produit final, des réchauds améliorés pour le chauffage, des bassins, des plateaux pour le tri des graines, des balances, des moulins à pierre pour le broyage et une thermoscelleuse pour la fermeture des emballages. Le processus de production implique plusieurs opérations techniques. Après réception des graines de soja, les graines sont d'abord vannées pour éliminer les impuretés légères telles que la poussière et les résidus de culture. Les graines triées sont ensuite tamisées de manière plus approfondie pour éliminer les graines immatures ou indésirables et les pierres. Ensuite, les graines de soja propres et sans moisissure sont soigneusement lavées pour garantir l'hygiène et éliminer toutes les impuretés restantes. Pour éviter la contamination par l'aflatoxine, causée par des moisissures qui se développent sur les céréales et les légumineuses, le tri et le lavage appropriés sont essentiels. Les graines de soja pesées sont ensuite légèrement torréfiées à feu doux pour éviter de donner un goût âcre à la farine. Après la torréfaction, les graines sont étalées sur une surface pour refroidir et permettre la dissipation de la chaleur accumulée. L'étape suivante consiste à enlever les enveloppes des graines en les frottant manuellement ou en les broyant et les vannant. Le broyage est effectué à l'aide d'un moulin à pierre, et la farine obtenue est tamisée à travers un tamis fin pour améliorer le mélange des ingrédients, faciliter le refroidissement et obtenir une consistance plus sèche. Enfin, la farine est emballée dans des sacs hermétiques de qualité alimentaire, étiquetés pour garantir la qualité du produit, et est idéalement analysée dans un laboratoire agréé pour une assurance qualité supplémentaire. La farine de soja trouve des applications dans les industries agroalimentaires pour la production de farines enrichies et est également couramment utilisée dans diverses recettes culinaires. Notamment, elle est utilisée dans la préparation de bouillies locales pour les enfants. Bien que ce document fournisse des informations précieuses sur la production de farine de soja, il met en évidence des défis tels que le manque d'informations et un accès limité à l'équipement nécessaire. Pour relever ces contraintes, les recommandations incluent la sensibilisation et la formation des individus, en particulier des femmes, aux techniques de transformation et la promotion de l'accès à un équipement approprié.
Fiche Technique : La Production de Gari a Base de Manioc
(2019) IFDC
Le gari, aliment de base dans le bassin du Bénin, est dérivé de la racine de manioc et joue un rôle important dans l'alimentation de la population locale. Cette publication vise à améliorer le processus traditionnel de production du gari afin d'en améliorer la qualité et l'efficacité. L'étude a été menée dans le district de Savalou, réputé pour la qualité de son gari, en collaboration avec des groupes communautaires dynamiques et bien organisés à Naoudji et Sohédji. La recherche a révélé que la qualité du gari dépend largement de la dispersion granulométrique de la pulpe de manioc, qui doit être exempte de matières fibreuses et de grosses particules. De plus, le goût du gari doit être légèrement sucré avec une note acidulée subtile. Pour obtenir ces caractéristiques souhaitées, la publication fournit des instructions détaillées pour chaque étape du processus de production. Les étapes initiales consistent à sélectionner des racines de manioc fraîches et non endommagées, puis à les éplucher et à les nettoyer soigneusement pour éliminer les impuretés. Des râpes mécanisées sont recommandées pour améliorer l'efficacité et répondre aux exigences du marché. Les étapes suivantes couvrent le pressage et la fermentation, qui sont essentiels pour éliminer le cyanure de la pulpe de manioc. La publication met l'accent sur l'utilisation de presses hydrauliques ou à vis pour un traitement efficace et hygiénique. Une fois fermentée, la pulpe de manioc est tamisée pour obtenir une texture semblable à de la semoule, qui est ensuite torréfiée pour produire le gari final. Le processus de torréfaction, effectué sur un plateau spécialement conçu ou une poêle chauffée, nécessite une surveillance attentive pour garantir que le gari atteigne une consistance sèche et croustillante. La publication souligne l'importance de maintenir la propreté tout au long du processus de production pour éviter la moisissure, la contamination par les insectes et autres dangers pour la santé. Les méthodes appropriées d'emballage et de stockage sont également décrites, en mettant l'accent sur l'utilisation de sacs en polyéthylène et des mesures de poids correctes pour répondre aux exigences du marché. La publication recommande de conserver le gari dans des conditions fraîches et sèches, à l'écart des murs pour minimiser les transferts de chaleur et d'humidité. Dans ces conditions, le gari peut être conservé jusqu'à un an sans compromettre sa qualité. En mettant en œuvre le processus de production optimisé décrit dans cette publication, les producteurs de gari au Bénin peuvent améliorer la qualité, la durée de conservation et la compétitivité de leurs produits sur le marché. Ces améliorations visent à bénéficier à la fois aux consommateurs locaux et à la viabilité économique de la production de gari dans la région.
Fiche Technique : Transformation de l’Arachide en Huile et Pate d’Arachide
(2019) IFDC
L'arachide (Arachis hypogaea) est une légumineuse annuelle dont le fruit mûrit en terre. Ses graines servent principalement de matière première pour l'extraction d'huile utilisée comme assaisonnement et en cuisine, ainsi que pour la production de beurre d'arachide. Une part importante de la production d'arachide est utilisée comme aliment de base : les arachides grillées consommées telles quelles ou utilisées comme condiment, notamment dans la préparation de sauces réputées. Au Bénin, la consommation de graines est estimée à 12 kg par personne et par an. Seules les variétés hâtives, avec un cycle de moins de 100 jours, sont cultivées en Afrique. Les arachides de type oléagineux doivent combiner des rendements élevés avec un pourcentage élevé de décorticage (environ 70%) et une teneur élevée en matière grasse (50%), tandis que les arachides destinées à la consommation directe doivent avoir une faible teneur en matière grasse (moins de 50%) et un poids élevé des graines (plus de 150 g pour 100 graines). En général, les arachides vendues en coque sont destinées à la consommation directe, tandis que les arachides décortiquées sont utilisées dans la confiserie. Les feuilles d'arachide correctement récoltées et séchées ont une teneur en protéines de 14 à 16% et une forte valeur fourragère (0,4 VF/kg). En moyenne, 100 kg de gousses (coques) donnent 70 kg de graines contenant 30 kg d'huile ; avec une extraction industrielle par pression, les rendements peuvent atteindre 45%, mais le tourteau résiduel (50%) convient uniquement à l'alimentation animale. Les procédés traditionnels tels que le broyage éliminent une partie des germes et de l'enveloppe de la graine, entraînant une diminution d'environ 7% du total des produits transformés. Ils ne permettent de libérer que 60% de la teneur en huile des graines, mais ils produisent un sous-produit de haute valeur nutritionnelle appelé "galette" ou "KLOUKLOUI", enrichi en protéines (35%) grâce au processus d'extraction.
Fiche Technique : Les Concepts de Base sur le Stockage et la Conservation des Produits Agricoles
(2019) IFDC
Ce document fournit aux techniciens des connaissances complémentaires sur les concepts de base liés au stockage et à la conservation des produits agricoles. Le stockage des produits agricoles consiste à déposer des produits pour une utilisation ultérieure, tandis que la conservation est l'action de maintenir les produits d'une manière qui préserve leur quantité et leur qualité. Il est crucial de maîtriser les techniques de stockage et de conservation, car cela permet d'obtenir des produits agricoles de bonne qualité, réduit les pertes et garantit la sécurité alimentaire. Les principes fondamentaux de stockage et de conservation impliquent la préparation de l'environnement de stockage, la réception et le stockage des produits, ainsi que le contrôle régulier et la maintenance des installations de stockage. Le document met également en évidence l'importance de conditions de stockage appropriées telles que des niveaux d'humidité faibles, l'utilisation d'emballages adéquats et des mesures d'hygiène. Enfin, le document identifie les principaux ennemis du stockage et de la conservation, y compris les ravageurs et les rongeurs, et propose des méthodes pour les contrôler.
Fiche Technique : Technologie de Production de la Pate d’Arachide
(2019) IFDC
Ce document fournit une description détaillée du processus de production du beurre d'arachide, en mettant l'accent sur l'importance des bonnes pratiques pour garantir un produit de haute qualité et apprécié sur le plan organoleptique par les consommateurs. Le beurre d'arachide est obtenu en broyant des arachides torréfiées et est nutritionnellement riche en matières grasses, améliorant la digestibilité de certains nutriments. Le document décrit les matières premières nécessaires, notamment les graines d'arachide, ainsi que les équipements utilisés, tels qu'un décortiqueur et un torréfacteur. Les opérations techniques séquentielles impliquées dans le processus de production sont décrites, en commençant par le décorticage des arachides pour enlever leurs coques, suivi du vannage pour éliminer les coques et les impuretés. Les arachides triées sont ensuite divisées en deux catégories, arachides entières et morceaux brisés, par tri manuel. L'étape cruciale de la torréfaction suit, ce qui améliore considérablement la qualité du produit final en améliorant la saveur, la couleur, la texture et la durée de conservation. La torréfaction détruit également les microorganismes et désactive les enzymes qui peuvent entraîner la détérioration du produit. Le processus de torréfaction consiste à soumettre les arachides à des températures élevées allant de 140 °C à 180 °C pendant une courte durée, avec un contrôle précis du temps et de la température. Il est essentiel de refroidir les arachides torréfiées dans un endroit propre et sec avant de retirer manuellement leur peau par égrenage. Ensuite, un vannage supplémentaire est effectué pour éliminer complètement les peaux. Les arachides torréfiées et égrenées sont ensuite finement broyées pour obtenir du beurre d'arachide, de préférence en utilisant des broyeurs en acier inoxydable pour éviter toute contamination par du fer ou de l'aluminium. Le beurre d'arachide obtenu doit être collecté dans des récipients propres et conditionné dans des récipients en plastique ou en verre.
Fiche Technique : Saumurage du Piment
(2019) IFDC
Ce document présente la succession des opérations techniques impliquées dans la production de la saumure de piment. Le processus comprend quatre étapes clés. Tout d'abord, la stérilisation des bocaux est effectuée en les lavant puis en les plaçant dans une casserole ou un stérilisateur rempli d'eau, qui est chauffée pendant environ trente minutes pour assurer la stérilisation. Deuxièmement, les piments sont préparés à travers cinq opérations essentielles. Cela comprend le triage pour séparer les piments endommagés ou contaminés des piments sains, suivi du lavage des piments sélectionnés deux fois dans de l'eau potable pour éliminer la poussière et les contaminants. Ensuite, les piments lavés sont égouttés dans une passoire pour éliminer l'excès d'eau, et les extrémités des tiges sont coupées à l'aide d'un couteau. Enfin, les piments préparés sont remplis dans les bocaux stérilisés. La troisième étape consiste à préparer la saumure en faisant bouillir de l'eau et en ajoutant du sel dans un rapport de 20 g par litre d'eau. Dans la quatrième étape, les bocaux stérilisés sont remplis de piments et la saumure préparée est ajoutée, en laissant un écart de 2 cm par rapport au bord du bocal. Les bocaux remplis sont ensuite chauffés et bouillis pendant 30 minutes pour pasteuriser leur contenu.
Facilitation et Animation dans le Contexte des Adultes Avec Prise en Compte du Genre
(2019) IFDC
Cet documente présente une séquence d'activités visant l'apprentissage des adultes et les techniques de facilitation dans la formation agricole. Le contenu comprend les principes et les styles d'apprentissage des adultes, la préparation et l'organisation de réunions d'échange/formation avec la participation qualitative des femmes, la facilitation de la formation des adultes, les visites d'échange d'expérience et les démonstrations. Les objectifs pédagogiques de la séquence incluent l'explication des principes et des styles d'apprentissage des adultes, la description des méthodes et des outils de facilitation de groupe, la planification de sessions d'information et de communication sur les bonnes pratiques agricoles, le stockage et la transformation des produits, ainsi que la réalisation de sessions d'information, de formation, de visites d'échange et de démonstrations sur les pratiques agricoles. La séquence met également l'accent sur l'utilisation du jeu de rôle et de l'observation comme outils pour comprendre les perspectives, identifier les indicateurs et évaluer les interventions du projet. Des conseils pratiques sont fournis pour l'utilisation des techniques de jeu de rôle et d'observation, en mettant en évidence l'importance de l'adaptation culturelle et de l'évaluation qualitative. De plus, un exercice sur les calendriers d'activités quotidiennes des femmes est présenté pour évaluer leur disponibilité à participer à la formation. L'document se conclut par des directives pour les exercices de jeu de rôle et le rôle des facilitateurs et des observateurs.
Fiche Technique – Traitement Phytosanitaire, de Manipulation et Entretien des Appareils de Traitement Avec Prise en Compte du Genre
(2019) IFDC
Ce texte aborde l'importance continue des méthodes de lutte antiparasitaire chimique en agriculture malgré leurs effets négatifs sur la santé humaine et l'environnement. Le succès de ces méthodes dépend de techniques d'application appropriées, qui varient selon le type de formulation de pesticide utilisée. Une application inappropriée peut conduire à un échec sur le terrain, indépendamment de la qualité et de l'efficacité du produit utilisé. Il est donc crucial de choisir et d'exécuter la technique d'application appropriée pour assurer l'efficacité du produit. L'étape la plus importante dans l'utilisation de produits phytosanitaires est la maîtrise et le respect des normes de manipulation et de maintenance de l'équipement de traitement. L'information, la sensibilisation et la formation des producteurs sur les techniques d'application et de maintenance de l'équipement peuvent augmenter la production agricole quantitativement et qualitativement. Le texte décrit également les principaux types de pulvérisateurs rencontrés en Afrique de l'Ouest et centrale et fournit des spécifications techniques pour chaque type. Le but du texte est de doter les agriculteurs de connaissances et de techniques pour utiliser correctement les pesticides et les pulvérisateurs, calculer les doses et assurer une utilisation rationnelle et sûre des pesticides.
Fiche Technique – Lutte Integree Contre les Ravageurs, Maladies et Carences du Palmier a Huile Avec Prise en Compte du Genre
(2019) IFDC
Ce document traite de la culture du palmier à huile et de sa contribution économique et nutritionnelle aux ménages au Bénin. Les fruits et les graines du palmier à huile sont très appréciés pour leur utilisation dans l'huile alimentaire et industrielle. Les deux principaux types d'huile extraites du palmier sont l'huile de palme, extraite de la pulpe des fruits, et l'huile de palmiste, extraite du noyau. Ce document vise à aider les agriculteurs à gérer les ravageurs du palmier à huile, principalement l'Oryctes, les Rhynchophores, la Coelaenomenodera Lameensis, les rats, les oiseaux et les chenilles qui causent des dommages importants aux jeunes palmiers à huile. Le document est destiné aux techniciens, aux agents de terrain et aux agriculteurs pour reconnaître les ravageurs et leurs dommages et mettre en œuvre des stratégies de contrôle efficaces. La seule façon de contrôler les attaques de chenilles est par une intervention physique pour détruire leurs habitats et protéger les jeunes plantes en installant une clôture. Enfin, le document souligne que le secteur de l'huile de palme nécessite des politiques adéquates pour soutenir son développement.

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